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Moi et autres libertés prises avec la réalité.

1 février 2007

Des noeuds au cerveau

C'est quand-même pas croyable!

On dirait que tous les mois, je dois, pour une raison inconnue, trouver la réponse à toutes les questions du monde pour une date butoir. De l'art de se faire du mourron, sans aucune raison.
Et je le sais en plus, que ce sont mes hormones. Mais RIEN N'Y FAIT.

Tous les mois, à la même période, les grandes interrogations métaphysiques doivent impérativement trouver une réponse valable et définitive!

Et il n'y a pas que moi que ca fatigue...

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1 février 2007

Je suis entrée au Panthéon

Des Divas!

Attention article essentiellement dédié aux nanas!

Après avoir pris connaissance de l'existence de la chose là => http://mercipourlechocolat.blogspot.com/, j'ai décidé de me lancer!

Et j'ai acheté une divacup ( site officiel : http://www.divacup.com/fr/debut.html).

Et donc là, sous vous yeux ébahis, je porte la bête pour la première fois de ma vie en situation réelle... Et je suis déjà convaincue...

Au nombre des avantages de la demoiselle D je compte :
- son prix
- son ecologie
- ses non-désavantages par rapport aux autres protections periodiques
- son respect de ma fragile flore intime...

Bon, entendons nous, je n'aime pas avoir mes règles... Mais si ça peut être moins désagreable...

1 février 2007

Noel en la colocation

Et en l'an de grâce 2006 aussi.

Mon amoureux à moi que j'ai, il est formidable. Une de ses qualités que j'aime énormément, c'est sa faculté à prendre des initiatives.  Sans se rendre compte de l'état dans lequel ça me met. Après "mets ta belle robe, on sort" ( que j'ai déjà raconté), il a innové dans la nuit de dimanche à lundi en disant "mardi soir, quand je rentre, on fait un beau repas de Noel dans la colocation".

Bon, on se comprend bien, dès qu'il s'agit de manger, je trouve ça merveilleux.

Mais on est dimanche, veille de lundi 25 decembre, tout sera fermé et je bosse le mardi 26 décembre 2006 ( oui c'est une honte, je sais, mais que voulez-vous, bosser ce jour-là me donne le droit de prendre un jour de congé en plus, une sombre histoire de service assuré, je raconterai une autre fois). .

Et moi, plutôt que de lui dire, "mon coeur que j'aime, va te faire voir s'il te plait bien, et passe chez le traiteur, celui qui est cher et qui fait du foie gras, en rentrant, je t'attends dans le canaprout", je dis... "Euh... oui".

Donc ce soir, à 17.20, je sors du travail et j'invente sous vos yeux ébahis mon repas de Noel du 26.12.2006.

Entrée froide  : Entremets de poissons fumés à la sauce cressonée
Entrée chaudée : sablés au chèvre et au cumin

Plat : pâtes fraiches faites maison aux deux saumons et son beurre de sauge

Fromage et Dessert.

Bon je l'ai envoyé à la pâtisserie chercher le dessert. Mais quand-même.

Une autre qualité que j'aime chez mon bonhomme à moi c'est sa foi en ma capacité à faire n'importe quoi dans ma cuisine pour lui ( la phrase aurait pu s'arrêter à "n'importe quoi", mais ça n'aurait pas eu le même sens tout en étant tout aussi vrai!). Et moi, je fais... N'importe quoi, en effet.

Jl'ai dans la peau, j'en suis marteau, c'est mon hôôôôôômeuh...

1 février 2007

Flonflons et Clochettes

C'est pas comme si il ne se passait rien.
Des semaines entières de vie quotidienne haletante qui me jette tous les matins à 6.45 (OK 7.10) au bas de ma couette douillette pour me faire affronter le froid (OK la douche) sibérien (oh 5 degrés, c'est sibérien, comparé aux tropiques!) pour me faire affronter les gens et leurs malheurs avant de courir à la maison faire à manger et RONFLER!

Vous je sais pas, mais moi, l'hivers, ca me file la ronflotte aigue. Je me retrouve à hiberner dès 17.30, m'enfonçant doucement dans le sommeil...

Dans cet état, me décider à aller au sport relève de l'exploit olympique. Parce que la croquette ( c'est moi, dixit mon mâle, que j'apelle Minou, je me venge) a    décidé pour Nouvel-An de porter une robe INDECENTE! Rien à voir avec le glamouredistingué. Nous serons dans le glamourepailette rouge, du plus bel effet, que si la personne dedans n'était aussi élégante que votre servitrice, ca serait vite du Paris (Hilton, oui, nous nous connaissons personnellement, elle m'apelle tous les jours, c'est pénible, je vous jure).
Robe indécente rouge. Il faut donc que je sois... disons moins potelée. J'ai abandonné depuis longtemps l'idée d'être mince, ou même moyenne. Potelée je suis, potelée je resterai. A la place, j'ai décidé d'être heureuse et musclée ( et le premier qui me rapelle que c'est l'excuse des grosses, je lui balance mon pèse-personne). Donc, j'ai fait du sport.
Sauf que.
Là présentement, ca va être Noel. Noel précisément ca me file le cafard et cafard = chocolat ( ne mangez pas pour autant ces sympathiques bêtes, malheureux) comme chacun sait.
Hiver = sommeil, comme je viens de l'expliquer.

Donc hiver + cafard = chocolat + sommeil = Nouvel-an en pantalon.

CQFD.

28 novembre 2006

Ce qu'il s'est réellement passé...

Parce que la meilleure fin

C'est toujours celle qu'on avait pas imaginée...

Donc, jeudi soir, dernier et ultime essayage de la tenue "quidéchire sa race Paris n'a qu'à bien se tenir". Ce jour là, tous les saints de tous les collants filés au mauvais moment du monde étaient penchés sur ma destinée.
J'enfile la robe noire... Et là... Tiens, ca colle un poil plus sur mes fesses. Pourtant, j'ai fait du sport cette semaine pis j'ai mangé de la soupe. Ah. Mais ca colle vraiment. Pis sur mes seins aussi... Comment ça, ca colle sur mes seins que je vais exploser ma fermeture éclair??
AAAAAAAAH, damnation complète je l'avais oublié celui-là! L'infâme Ketchup Monster ( copyright a n g e l) est de retour... Et me fait ressembler à une rate obèse! Je suis un pop corn bien cuit. Ou un grain de riz soufflé. Séduisant à souhait, le look "j'enfle à vue d'oeil, reviens, en vrai j'ai des formes".

Toute ma stratégie pour rulez Paris ruinée en 2 temps, 3 mouvements par le KM. Sans compter mon humeur de dogue allemand en préménopause...

Piteusement, j'ai du me rabattre sur mon plan B. Adieu veaux, vaches, cochons,  robe chinoise et boucle d'oreilles assorties... J'ai mis un corset.

Le mot de la fin à l'homme de mes nuits :
- T'es quand-même plus sexy dans ton plan B...

Merci mon amour...

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28 novembre 2006

Mets ta belle robe - Epilogue

Catastrophe n°1 : 

Une belle robe. Comme toutes les femmes Barbara G. du monde, vous aussi, ne niez pas, j’ai approximativement 15 robes qui dorment dans la penderie. Et comme toutes les femmes Barbara G. du monde, je les mets approximativement jamais par lustre. Parce que, comme toutes les femmes Barbara G. du monde, depuis que j’ai acheté ces robes, j’ai grossi. Je pense même sérieusement à intenter un procès à toute ces robes : dès que je les achète, je suis contente, et comme je suis contente, je fête ça avec une petite crêpe et après je grossis. Je viens de prouver scientifiquement que c’est l’achat de la maudite robe qui me fait grossir. Rien à voir avec la tartiflette. RIEN. Le premier que j’imagine en train de mettre en doute cet état de fait, je l’assume à coup de bandes dépilatoires. Long, douloureux et humiliant.

Je viens donc d’établir le premier fait : je n’ai rien à me mettre ! Bon je n’ai pas de sous non plus. Pour cause de Noël onéreux au mois de décembre, il est hors de question que je commence à grignoter l’argent que mon employeur ne m’a pas encore donné. Donc je vais devoir faire avec ce que j’ai…

Attaquons donc la bête : c’est quoi,d’abord, une « belle robe ». Le mâle est un mâle ( ça fulgure sec !). Une « belle robe », c’est une robe où on voit mes seins, mon postérieur dodu et mes mollets. J’entends «  une robe où on voit ma ptôse mammaire, mes bourrelets et ma cellulite ». J’ai 4 robes qui correspondent à la description. On avance, on avance ! Je kidnappe donc le mâle pour un premier défilé « quelle robe je mets », enchaîné, tant qu ‘il a la bouche ouverte, sur un défilé « quelles chaussures je mets ».

 

Le choix du mâle s’est arrêté sur une robe chinoise. Courte. Diaboliquement courte. Ces chinois savent comment torturer le monde : ceux qui regardent qui veulent savoir si j’ai une culotte ( ou qui se demandent comme j’ose sortir comme ça) et moi qui me demande si on voit ma cellulite. Ca a encore été facile comparé à la trilogie de problèmes qui succède TOUJOURS à un choix de robe : Quelleschaussures ? Quellecoiffure ? Quelsaccessoires ?

 

Là, j’ai compris ma douleur d’être une femme Barbara G. Parce que « Quelles chaussures ? » est une question largement plus compliquée que celle des intérêts américains dans le pétrole du Golfe. J’ai de très jolies chaussures. PLEIN. Mais les chausseurs pensent unanimement que mes pieds s’ils veulent être jolis ne peuvent pas me servir à marcher ou à rester debout ( ne parlons pas de danser toute la nuit). Donc j’ai le choix : ou c’est joli, ou c’est confortable. Etant donné qu’il est hors de question que je mette mes Camper plates, noires, avec de gros élastiques rouges, avec ma robe chinoise, je suis donc réduite à choisir entre : mes bottes à talons aiguilles, et mes chaussures de soirées ( noires, pleines de bling-blings, un chef d’œuvre de petassitude). Le mâle opte sans hésiter pour les bottes. J’aime aussi. Mais il faut avouer que mes chaussures de soirées font la gambette plus légère ( ou le saucisson allégé, c’est comme vous voulez). Mes chaussures de soirée, par contre, proscrivent le port de bas, ce que la morale et mon médecin traitant qui en a marre de mes sinusites, réprouvent.

En désespoir de cause, j’ai décidé d’éviter d’enrichir mon médecin et de porter bas-z-et bottes.

 

Je vous épargne la coiffure et les accessoires, je suis épuisée de temps de vicissitudes.

 

Si demain, je fais pas un malheur ( prévoir d’entourer le buffet et le bar de barrières Nadar, sinon, je VAIS faire une bêtise, je le sens), la prochaine fois, j’irai en jeans !

28 novembre 2006

Mets ta belle robe - Episode 2

Pour les perdus : Mon homme me traine à une soirée à Paris demain soir.

Prenons les problèmes à l’envers. Si je veux.

 

Le plus simple : Vendredi 17 novembre. Oui, en hiver. La saison la moins chouette du monde universel, où la pluie qui mouille fait frisotter mes cheveux qui n’avaient pas besoin d’aide pour ça, abîme mes chaussures de princesse, où je dois porter un manteau qui fait ressembler mon corps pulpeux ( non, pas « dodu ») à un bonhomme Michelin, où il fait noir tout le temps. Raté donc pour le plan «  Me voilà court et légèrement vêtue, regarde mes chaussures à talons vertigineux et mes orteils maladroitement vernis, que de sexytude dans tant de légèreté ». J’ai demandé, il paraît que le 17 novembre à la fin du printemps, c’est pas négociable. Vu que le syndicat des saison est resté sourd à mes suppliques et que le père Noël dont j’ai le numéro de portable refuse de décrocher le téléphone, probablement depuis que je lui ai dit qu’une ceinture SUR le point culminant du ventre, c’était out, j’ai du me résigner. J’aurais du m’abstenir mais bon, ce pauvre père Noël, si peu Hype, je ne pouvais pas me taire.

Je me demande si je vais me résoudre à appeler Julien Courbet, parce que c’est pas possib’, ça peut pu durer, la soirée du vendredi 17 novembre en hiver, c’est trop d’injustice.

Je me résignerai demain, avant ça, je vais encore me plaindre beaucoup.

 

« A Paris ». J’ai bien entendu. Paris en France, avec le Trocadéro, les Champs Elysées, Christian Dior, Chanel et leurs amis. Le Paris, capitale de la Hype et de la branchitude. Je suis donc censée aller, moi, belge et ronde et Barbara, promener ma trinité là-bas, en tentant d’avoir l’air présentable.

Et la suite, plus tard ( je suis  censée bosser au travail. Alors que j'ai des choses tellement plus capitales à faire!)

28 novembre 2006

Mets ta bellle robe chérie, le vendredi 17/11, on va à une soirée à Paris.

Qu’il a dit.

 

Mince ( Non pas moi !). Décortiquons la phrase originale lancée il y a un mois par le mâle qui orne mon cou tous les soirs.

Déjà, il connaît bien la femme Barbara G. qui partage son oreiller, mon mâle : il me dit ca, genre 45 jours avant la fête, comme ça, j’ai le temps de « me préparer ». Et de m’en faire. J’en ai besoin, c’est vital, j’aime m’inventer des problèmes.

 

Donc. Reprenons, sérions les problèmes

« Mets ta belle robe ». Problème numero 1 : comment ca une robe ? Et belle comment ? Rouge ? Courte ? Longue ? De soirée ? Nous y reviendrons plus tard.

 

« Vendredi 17 novembre » : tu veux dire dans un mois et demi, en hivers ? Problème numéro 2.

 

« A Paris » : Quelle Paris ? La capitale de la Hype ?

 

Suite au prochain épisode.

28 novembre 2006

J'crois qu'il y a

Une fille qui habite chez moi...

Ca m'a pris quand j'avais 19 ans, une idée subite, ca m'a pris en me levant, comme une colique. Il me fallait un tatouage. Etant à l'époque bien plus réfléchie que maintenant, j'ai attendu. Longtemps. 2 ans exactement. J'ai attendu le dessin, le tatoueur, le moment... Le moment de quoi? Sur le moment, je n'aurais su dire... Avec le recul, je sais. J'attendais LE Moment, évidemment. Celui où ce dessin qui vieillirait avec moi aurait une raison de vivre sur ma peau.
Aujourd'hui, je le regarde en me disant qu'il était le début de quelque chose. Quelque chose de difficile, parfois, de douloureux la plupart du temps mais d'infiniment délectable... Le début de Moi. Le début de la prise de conscience, réveil douloureux, de ce qui était mien, ce qui était moi et ce qu'il fallait abandonner.
Le dessin? Une évidence : la représentation de tout ce que je voulais être, tout ce que j'aspirais à devenir, en tant qu'être humain.
Deux ans après la première idée, le premier coup de griffe encré...

Il y a des signes, qui ne trompent pas, je crois qu'il y a une fille qui habite chez moi...

Il y a 3 semaines, une révélation identique... Un dessin, au détour d'une photo, la vue d'ensemble et la même sensation de quelque chose de peut-être crucial qui se noue. Depuis, la sensation et moi, on s'observe. On essaye de se partager mon corps, de respecter l'existence de l'autre, de comprendre les buts et les aspirations de chacune...
Si la sensation garde sa place, il y a des chances pour qu'elle soit un jour dessinée sur mon corps, quand elle aura pris son sens, trouvé son dessin, Son Moment.

Il y a des signes qui ne trompent pas, je crois qu'une femme va habiter chez moi...

28 novembre 2006

Améliorations

Idéalement,

Les "bouchées" seront accompagnées/converties en verrines. So chic!

Sinon, j'ai encore trouvé de quoi faire au rayon sucré en verrines : soupe de mangue au mascarpone!!

Je sais pas si je vais survivre à ma préparation de Nouvel-An...

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Moi et autres libertés prises avec la réalité.
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